#use wml::debian::translation-check translation="c6a0c857ddab821790f611d1a50dffcde5b3ac15" maintainer="Jean-Pierre Giraud"

Affichage graphique des résultats

Dans le graphique ci-dessus, les nœuds en rose n'ont pas obtenu la majorité requise, le bleu est le gagnant. L’octogone est utilisé pour les options qui n’ont pas battu l'option par défaut

Dans le tableau suivant, la correspondance ligne[x] colonne[y] représente le nombre de suffrages où le candidat x est classé devant le candidat y. Une explication plus détaillée de la matrice des gagnants peut vous aider à comprendre ce tableau. Pour comprendre la méthode Condorcet, l'entrée de Wikipedia est assez instructive.

Grille des résultats
 Option
  1 2 3 4 5
Option 1   169 128 169 319
Option 2 166   109 172 323
Option 3 217 206   202 336
Option 4 180 174 134   324
Option 5 51 37 26 35  

En regardant à la ligne 2, colonne 1, Jonathan Carter
est classé devant Joerg Jaspert sur 166 bulletins

En regardant à la ligne 1, colonne 2, Joerg Jaspert
est classé devant Jonathan Carter sur 169 bulletins.

Couples de défaites

Contenu de l'ensemble de Schwartz

Gagnant

Debian utilise la méthode Condorcet pour les élections. De façon très simpliste, la méthode Condorcet pure pourrait s'expliquer ainsi :
Considérer tous les couples possibles de candidats. Le gagnant selon Condorcet, s'il existe, est le candidat qui bat chacun des autres candidats en duel singulier. Le problème est que dans des élections complexes, il pourrait y avoir des relations circulaires dans lesquels A bat B, B bat C et C bat A. La plupart des variations de la méthode Condorcet utilisent divers moyens pour résoudre ces cas. Veuillez lire la méthode Schulze pour de plus amples informations. La variante de Debian est expliquée dans la constitution, au paragraphe A.6.